Nous avons assisté cette semaine à une vague de questionnements et d’incompréhension en lien avec la venue de Dan Bilzerian ce lundi au Beachclub. L’annonce de sa présence sur notre petite île n’aura pas fait l’unanimité. Nous sommes conscients qu’il s’agit d’un choix discutable, puisque l’homme en question possède une image très forte, et les valeurs qu’il véhicule sont parfois assez, disons… questionnables.

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Cependant, c’est parfaitement correct de ne pas être en accord. On sait bien, dans une industrie comme la nôtre, que nous ne pourrons jamais plaire à tout le monde. Il faut s’attendre à ça, évidemment. Par contre, il y a plusieurs choses à savoir avant de porter un jugement. Cette décision avait été pesée et mesurée depuis longtemps.

 

L’image de Bilzerian représente, à la base, des belles filles, des armes, et du gros party. Le gars se donne une image de badboy assez intense qui fait jaser. Sauf que la chose première à comprendre, c’est que c’est une image. Ce gars-là représente quelque chose qu’il a lui-même créé. Et ça fait jaser. Qu’on l’aime ou pas, il a quand même 18.2 millions d’abonnés sur Instagram. S’il se foutait réellement de ce qu’on pensait de lui, croyez-vous vraiment qu’il serait autant actif sur les réseaux sociaux? Pensez-vous qu’il aurait plus d’un millier de publications sur sa page?

 

Personnellement, je ne crois pas. Il fait ça pour le show. Pour faire jaser. Et, vous l’aurez compris, ça marche. Très bien, même. Il faut donc être capable d’en prendre et d’en laisser.

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Plusieurs personnes se demandaient pourquoi nous l’avions fait revenir cette année. Pour être honnête avec vous, la raison est bien simple : l’an passé avait été un franc succès. Le party avait été clairement à la hauteur des attentes de tout le monde. La couverture médiatique qu’on avait eu grâce à lui avait été assez impressionnante. Au moment même de sa venue, l’été dernier, on commençait à parler du Beachclub à l’international. Coïncidence? Je ne crois pas.

 

Cette journée-là, le vibe avait été bon, et le show aussi. Parce que c’est ça, en réalité. Du spectacle, du showbusiness, du gros marketing. Qu’on aime ou pas, la mission de l’événement avait été réussie.

 

*Note de l’auteur : L’écriture de ce texte n’était pas dans le but de justifier nos décisions, mais bien de les expliquer. Dans un souci de transparence, mais aussi d’intégrité envers nos clients et tous ceux qui se posaient des questions.

 

Bref, People of Beachclub, on se voit lundi.